Parlons des films musicaux de l'après-punk.
Avec tous les revivalismes et l'omniprésence des décennies passés, il serait vain de faire la liste des films contemporains ayant pour cadre les musiques de la fin des 70s ou des 80s.
Il y en a eu des très bons et des beaucoup moins.
Exit également les biopics, comme par exemple :
- 24 Hour Party People (Michael Winterbottom, 2002) sur Tony Wilson
- Control (Anton Corbijn, 2007) sur Ian Curtis
- Sex & Drugs & Rock & Roll (Mat Whitecross, 2010) sur Ian Dury
- England Is Mine (Mark Gill, 2017) sur Morrissey pré-Smiths
Évoquons plutôt des films vraiment d'époque :
- Jubilee (Derek Jarman, 1978) avec Jordan, Toyah Willcox, Adam Ant et une participation des Banshees et des Slits
- Breaking Glass (Brian Gibson, 1980) avec Hazel O'Connor
- La Brune et Moi (Philippe Puicouyoul, 1981) avec Édith Nylon, Marquis de Sade et d'autres jeunes gens modernes.
- Downtown 81 (Edo Bertoglio, 2001) avec Jean-Michel Basquiat rencontrant, entre autres, Tuxedomoon, DNA, Kid Creole, James Chance et Debbie Harry.
- Ladies and Gentlemen, The Fabulous Stains (Lou Adler, 1982) avec Steve Jones et Paul Cook période The Professionals, et Paul Simonon.
- Starstruck (Gillian Armstrong, 1982)
Finissons par le plus indispensable de tous : Urgh! A Music War (Derek Burbidge, 1981) avec des captations sur scène d'un bonne trentaine de groupes.
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